Vous refusiez d'y croire. Il y a encore quelques semaines, vous participiez avec insouciance aux festivités de la rentrée. Entre vos cours d'histoire du cinéma et les premiers tournages, vous avez rencontré cette personne qui a su vous envouter par ses paroles mielleuses. Puis elle vous a changé. Vous avez bu quelques gorgées et la soif est devenue insoutenable jusqu'à ce que vos mains soient souillées de sang. Non, vous n'êtes plus humain. (suite)
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Gwangsu
between certainties and doubts | Tian |
Tian Age : 30 Occupation : professeure de danse Logement : appartement à gangnam Messages : 7 Date d'inscription : 11/06/2022 | ||||
[Sòng] 宋 天 [Tian]
facts A été gymnaste professionnelle ☆ Aurait pu participer aux JO ☆ Essaie de ne pas devenir une vieille aigrie ☆ Aime le patin à glace, ça la calme ☆ La danse a été une voie de garage pour elle (au début) ☆ Sa consommation de caféine annule toute tentative de mode de vie sain ☆ Insomniaque, clairement nocturne ☆ Ne sait pas marcher pieds nu à plat (les talons et la gym) ☆ Son style vestimentaire est un aesthetic auquel elle voue une grande affection ☆ Adore les chats fluffy ☆ Les cigarettes sont un signe d'énervement chez elle ☆ S'entraîne, constamment ☆ Aime avoir l'air d'une bad bitch, mais n'en est foncièrement pas une ☆ Adore le poulet frit et les boba tea ☆ Ne complexe plus sur sa grande taille ☆ Ses cheveux la détestent pour l'entretient que demande ce blanc lavande savamment dosé (merci la coiffeuse coloriste) ☆ Est en fait vachement bienveillante, mais l'aura de bad bitch la préserve d'un trop plein de sociabilisation ☆ Nerveuse en public (ironique) ☆ Regarde des cartoons pour se détendre ☆ Aime les endroits un peu secrets pour manger et boire ☆ Pas du tout en accord avec les fêtards de Séoul en général ☆ Maîtrise la danse classique de base, bien plus douée en danse moderne ☆ L'entraînement c'est la clé ☆ N'a pas honte dans le secret de son chez-elle de porter des sweatshirts ridicules (mais mignons) ☆ Ponctuelle, dure, énergique ☆ Aime porte des lunettes au verre fumé parce que c'est classe et voir la vie en rose ou bleu c'est bien plus fun ☆ Joue de son aura pour se cacher des gens et pas parler de ses sentiments ☆ Pour voir son petit cœur d'artichaut, suffit de la mettre devant un animal, elle fond instantanément ☆ Râle beaucoup, ponctue par insulte ou utilise un langage particulièrement châtié ☆ Son accessoire fétiche c'est ses bagues-armure qui font office de griffes plus qu'autre chose ☆ A quand même des ongles diablement longs et des manucures impeccables ☆ La symétrie des bijoux est une règle qui ne se plie qu'au contexte ☆ Affiche un air dur et méprisant par défaut, mais c'est juste qu'elle est pas expressive ☆ Parfois ne peut pas calmer son tempérament de chevalier en armure ☆ Elle porte des shortys sous ses jupes, ça vous la coupe hein ? ☆ Le vrai confort, c'est une bière devant un kdrama après avoir transpiré toute la journée à l'entraînement ☆ A eu le nez refait à vingt ans (comme 80% des gens au final) ☆ N'a jamais osé se faire tatouer, vieux trauma d'autorité parentale ☆ Ambivalence flagrante d'une ado coincée dans le corps d'une adulte ☆ Aime se goinfrer de pâtisserie quand elle angoisse ☆ S'identifie au serpent, pour la mue, ça lui semble logique ☆ A dépensé une fortune dans une machine à café italienne, d'abord pour faire genre, puis par appréciation ☆ A trop de porte clé pour le nombre de clé qu'elle a, c'en est risible ☆ Adore ce qui est iridescent. caractère Tian a sur la langue le goût amer de l’avenir raté. C’est l’ironie de son éducation et de son caractère. Elle aurait dû être une gagnante, une guerrière, c’était pour ça qu’on l’avait élevée, qu’on avait dépensé de l’argent. Et la vérité, c’est qu’elle y croyait, s’y dévouait, à ce destin qui semblait évident. Gymnaste, sportive médaillée d’or, les Jeux Olympiques au bout du chemin comme but absolu. C’était sa vie, depuis l’âge de cinq ans. Alors elle avait la gagne, elle était compétitrice. Fermée, glaciale et assurée. Et puis, la tuile, celle qui vous tombe sur le coin de la gueule avec la délicatesse d’une bombe nucléaire. Elle a alors changé. C’est peut-être la déception inscrite dans le langage corporel de ses parents. Le rejet de ses pairs, la satisfaction de ses concurrentes devant la canne et le genou prit dans une attelle. Tian a dû apprendre l’humilité, la reconstruction et l’endurance. Depuis la rééducation et le choix d’une autre carrière, là ou c’est sa belle gueule qui lui a acheté une place – et également son passé de gymnaste, avantage non négligeable musculairement parlant. Elle a appris à demander de l’aide, à s’entêter, à s’entraîner, à patiemment reconstruire ses muscles et à tester ses limites. Et puis devant la surprise des gens découvrant qu’en fait elle était gentille, bienveillante voire douce, le choix d’avoir l’aura désagréable d’une reine de glace. Bon, la glace est craquelée depuis, l’équilibre s’incluant doucement dans sa routine. Elle a l’air, l’aura, l’esthétique, mais finalement on le sent qu’elle est sympa à force de l’observer. Pourtant, cet enseignement du masque pour se protéger, elle sait que c’est essentiel dans un milieu aussi compétitif que le divertissement, et la compétition elle en sait quelque chose. Elle est donc dure parfois, mais essaie d’être aussi juste que possible, lucide et réaliste elle pousse au meilleur et n’hésite pas à sortir les griffes – au sens figuratif, ne craignez pas ses bagues. Mais elle est aussi profondément bienveillante, désireuse de voir réussir et surtout s’épanouir, une chance qu’elle n’a pas eu jeune. Elle sait se faire apprécier ou détester, mais ne s’en sens plus blessée. Sa nervosité en public pointe parfois el bout de son nez, mais elle survit, apprend chaque jour à se battre contre ça. En bref, Tian se cache, mais au fond il faut être très con ou aveugle pour ne pas comprendre qu’elle est sympa, farfelue mais de bonne volonté. histoire Le père de Tian est un immigré chinois, un sportif, expatrié après sa carrière pour échapper à de vieux démons qui n’ont pas de noms. Même aujourd’hui, le passé de son père semble nébuleux et elle ne sait pas grand-chose de lui – à vrai dire elle s’en fiche un peu aussi, elle doute qu'un jour il ne lui raconte honnêtement qui il est. Sa mère est une jeune femme coréenne, éduquée, jolie, ambitieuse. Elle a pratiqué la gymnastique pendant quinze ans comme activité extra-scolaire – c’est probablement de là que vient l’idée de faire de sa fille une sportive, qui plus es une gymnaste. Et, à vrai dire, tout partait sur de bons rails. Née sans encombre au mois de février, le treize, à une heure ouvrée parfaitement raisonnable, Tian aura un nom et un prénom chinois. Peu importe l’avis de sa famille maternelle, qui de toute façon n’aura pas son mot à dire. Sa mère la surnommera BoBae, prénom signifiant « précieux », surtout lorsqu’elle aura besoin de faire plier sa fille ou plutôt de la manipuler, soyons honnêtes. Elle commencera la gymnastique à cinq ans, six jours sur sept, pour un total de dix-huit heures par semaine, à raison de trois heures par jour. A côté de ça, le père lui fait aussi apprendre le mandarin, sa langue maternelle et ce qui pourra devenir une corde supplémentaire à son arc par la suite. Commence alors la scolarité typiquement coréenne de Tian. Culture de la réussite et de l’hygiène de vie, mâtiné de discipline asiatique et de respect familial poussé. Le meilleur de la Chine et de la Corée, vous conviendrez – même si tout cela a des origines historiques plus qu’uniquement culturelle. Tian est l’objet de ses parents, elle n’a clairement pas de personnalité enfant, elle n’a surtout pas l’opportunité d’en développer une par elle-même. Sa mère la pousse à être froide, ambitieuse, sérieuse et son père la pousse à se dévouer au sport, aux études, à ignorer les relations sociales. Maman veut une poupée, Papa un petit soldat. Alors forcément, à l’école Tian est pas forcément appréciée, socialement maladroite et un peu décalée de l'innocence de ses pairs – elle n’est cependant pas harcelée, parce que sa réussite attise la jalousie mais aussi le respect. En plus elle vient d’une famille de la moyenne bourgeoisie par sa mère, elle a donc de l’argent, même si elle n’a en aucun cas fait preuve d’opulence et d’étalage de richesse. Le statut social compte, tout le monde le sait. Elle est une mignonne jeune fille, assidue, sérieuse – granitique et distante, pas franchement la rigolote de service. Ses seules relations plus ou moins honnêtes viennent de ses camarades gymnastes. Elle a sa partenaire d’échauffement, avec qui elle s’entend plutôt bien, l’exception qui confirme la règle. Elles parlent musique et clips de KPop, elles parlent de leur petits crushs d’adolescentes – inutile de nier, on sait que vous en avez eu aussi. Soo, elle se souvient encore de son prénom, est une jeune femme admirative des idols, rêvant de participer à ce monde si sa carrière de gymnaste ne marche pas. Mais Soo, contrairement à Tian, n’est pas poussée par ses parents à devenir sportive professionnelle, simplement à ajouter ce détail à son CV et à plus se concentrer sur ses études en sciences, pour pouvoir faire un cursus de médecine. La mère de Tian sent bien l’influence de Soo et désapprouve clairement, l’autorité de ses parents prévaut, elle craint le désamour filial que pourrait apporter une rébellion. Alors les entraînements de Tian son décalés, on accusera l’apport de cours d’anglais et de piano. Tian sait pourquoi, sait comment ses parents font pour obtenir qu’elle fasse ce qu’ils veulent et uniquement ce qu’ils veulent. Alors elle se tait et s’entraîne. Et ça marche ! Tian est une gymnaste prometteuse, douée, à la silhouette élancée et à la grâce magistrale. Aucun exercice ne semble lui poser de réel problème, elle se dévoue à l’entraînement comme une nonne se dévoue à Dieu. Pas de petit copain, pas d’alcool, pas de drogue, pas de sorties. Une vie bien organisée et centrée autour du sport – du sport et des études, tout de même. Alors, déjà enfant elle participe à des concours, locaux, puis régionaux, puis finalement nationaux. Son père exulte, voilà la porte d’entrée, faire de sa fille une compétitrice récurrente – et de préférence qui gagne. Alors, chaque saison de concours, sa fille est inscrite d’office par ses soins et celui du gymnase ou elle s’entraîne. Et l’entraineur n’y voit pas d’inconvénient, au contraire – la jeune fille est douée, semble ambitieuse et motivée. Les podiums s’enchaînent, l’espoir grandit – elle change de gymnase pour un plus grand et professionnel. Et puis, il y a la chute. L’accident imprévisible et inexorable, une chute de la poutre en plein concours. Devant le public médusé, puis paniqué, Tian après un saut arrière réceptionné sur ses pieds, tombe. Elle ne se réceptionne pas sur la poutre et bascule. Son genou s’accroche sur la poutre et son poids et la force de la chute déboitent le tout et fissurent la rotule. Elle se souvient juste des cris, des projecteurs au plafond et de la douleur, cette douleur insupportable qui lui fera perdre connaissance. Son réveil sur un lit d’hôpital sera… Étrange. Sa mère lui tient la main, si fort qu’elle n’ose pas parler, le médecin feuillette le dossier et les captures d’imagerie, il explique que Tian doit rester alitée trois semaines, puis faire de la kinésithérapie pendant sept mois, que dorénavant elle est sujette à ce que son articulation se déboite de nouveau et à une fragilité inhérente. Sa mère pose une question qui brûle ses lèvres, est-ce que sa chère fille pourra continuer la gymnastique compétitive ? La réponse est non. Le médecin estime que c’est un risque qui pourrait amener Tian à être opérée si un accident devait se reproduire. Et là… Tian sent le désamour de sa mère, l’amertume qui ne va pas la quitter. La déception de son père est plus franche, plus sèche et ça n’aide pas du tout la jeune fille. Elle a dix-huit ans, sa carrière est brisée, elle enchaîne la kiné et ses études en imaginant pouvoir se relever de ça. Mais la situation dure, s’envenime – sa mère lui reproche l’accident, son père ira jusqu’à dire qu’elle l’a fait exprès. Impossible de savoir s’ils le pensent ou non, et ce n’est pas important, Tian est blessée. Autant dans sa chair que dans son cœur. Et là… Entre en scène Yong-Shik. Lui aussi voit le même kinésithérapeute qu’elle, il est breakdancer, il a eu une mauvaise chute – comme elle. Il lui parle de la danse, que ça pourrait peut-être l’aider à se reconstruire. Et… Cette idée marche, elle y réfléchit et fini par demander à son médecin. Et le kinésithérapeute lui explique que la danse classique peut aider à muscler tout son corps pour maintenir ses articulations abimées par l’excès de gymnastique et empêcher le développement prématuré d’arthrose. Pas de façon professionnelle ou compétitive cependant – mais-est-ce qu’elle va écouter ? Non. Alors elle commence par ça, mais forcément ses parents ne voient pas l’intérêt puisqu’elle ne sera jamais une professionnelle – c’est donc une perte de temps qui empêche qu'elle étudie plus pour compenser son échec sportif. Ses grands-parents maternels, eux acceptent de financer ses cours et ses premières pointes de danse. Papy et Mamie sont spectateurs de ce que vit Tian depuis toujours et ils essaient de compenser le manque d’action de leur part par au moins un acte de présence maintenant qu’elle démontre qu’elle en a besoin. Sa professeure russe, Oksanna, est une ancienne étoile du ballet russe – bizarrement elle aussi blessée plus jeune après un porté qui a mal tourné. A croire que c’est obligatoire pour devenir professeur de danse que d’avoir eut un accident ou une blessure abrégeant une carrière prometteuse. La danse classique est maîtrisée – uniquement en solo, danser en couple agace Tian qui est en plus grande et n’aime pas beaucoup qu’on la touche. Elle se produit parfois avec quelque camarade a Hongdae, la nuit, dans des costumes stylisés qui vont définir son style vestimentaire futur. Elle a un joli corps, un joli visage – même si à son équivalent du baccalauréat elle s’est fait refaire le nez à la décision de sa mère. Elle apprend à se maquiller, à jouer de son visage inexpressif pour sembler mystérieuse. Tian a alors vingt trois ans, se tourne ensuite naturellement vers la danse moderne, contemporaine, se souvenant de Soo, elle s’évertue à reproduire des chorégraphies de clips musicaux célèbres, puis à les modifier pour les rendre plus fluides ou les réadapter à d’autres mélodies. Et les études ? C’est une autre histoire. Titulaire du bac, parlant pas moins de trois langues au sortir de cet examen qui fait halluciner l’occident par la tenue impeccable que met le pays à glorifier la réussite de ses enfant, Tian ne sait pas quoi faire. Elle était une gymnaste ! Elle n’avait pas prévu autre chose, personne ne lui avait même donné d’option autre ! Le studio de danse ou elle prend ses cours, soutenu par Oksanna, propose alors de la prendre à mi-temps, juste histoire de lui donner une activité le temps de savoir ce qu’elle veut faire, puis c’est l’été, un petit boulot c’est bien vu. Alors elle commence à enseigner dans ce petit studio de danse. Au début chez les plus jeune, elle assiste le professeur, chouchoute ces petites têtes, ces bouts de choux. Puis elle doit se durcir un peu, déjà parce que faut contrôler les ados qu’on va lui confier et parce qu’elle doit résister à ses parents. Ces derniers essaient toujours de la manipuler, affectivement, et Tian réalise lentement qu’elle à le droit de vivre pour elle-même. Il serait temps, mais elle doit alors se forger un visage, celui de la femme dure que ses parents voulaient en faire – histoire qu’ils regrettent leur choix. C’est pas la période la plus claire de sa vie, c’est le bordel, elle commence même à boire et fumer, abuse du café pour essayer de résoudre ses questionnements nocturnes et pour ne pas admettre qu’elle est devenue insomniaque et ce depuis l’enfance et les journées à six heures de sommeil par nuit qu’on lui a infligé – le café a le dos large. Elle noie son mi-temps soi-disant productif en allant à la patinoire chaque matin. Au début pour se casser la figure et apprendre de nouveau à chuter, ce qui sera long et tortueux comme processus de dépassement de la peur. D’ailleurs, elle ne saute pas, tous les jetés et figures aériennes ou impliquant de décoller les deux patins du sol, elle ne les fait pas. Elle se contente de glisser, tournoyer, contorsionner son corps pour agrémenter de simples boucles pour tester sa souplesse et sa résistance à l’effet de la poussée d’Archimède. Et au tournis il faut le noter. Mais sauter ? Non, la peur d’une autre blessure, au tournant plus dramatique, flotte toujours. Mais la danse ? La danse c’est autre chose, le contrôle musculaire, la chorégraphie, le travail du corps. Au début, la danse n’est qu’une voie de garage, elle n’éprouve pas vraiment de passion à danser, cela ressemble à la gymnastique, c'est d'ailleurs ce qu'elle se répète en voyant cela comme une gymnastique rythmique moderne. C’est peut-être l’aspect très académique de la danse classique. Mais la danse moderne et contemporaine… C’est libérateur. Elle continue de se produire dans Hongdae le soir et là, on la remarque. On lui propose de petits contrats pour participer à des clips, des concerts parfois, elle fait alors partie de plusieurs troupes de danseurs professionnels se produisant régulièrement, selon les besoins. Elle signe un contrat de deux ans dans un groupe d’entertainment, elle gagne aisément sa vie sans opulence, continue d’enseigner à mi-temps. D'abord par simple réflexe, habitude puis par envie. Puis vient la proposition de poste à la Seoul Art University. Elle ne veut pas quitter son petit studio de danse, alors elle continue de venir enseigner le soir, elle jongle avec les horaires, parfois c'est compliqué. Mais ça lui fendrait le cœur de les abandonner aussi. Elle ne parle même pas de ça à ses parents, par contre elle en parle à Papy et Mamie, eux semblent content. Heureux même que Tian trouve sa voie et aussi sa voix, osant formuler souhaits, opinions et désaccords. Originellement remplacement, qui deviendra titularisation sans même que Tian ne sache précisément pourquoi. A vrai dire, elle s’en fiche glorieusement, elle a un travail, une voie, une passion. Et ça, après des années à avoir vécu celle de ses parents, c’est énorme.
by moonie | ||||
Sam 11 Juin - 17:02 | ||||
Jihyeon Occupation : psychologue Logement : appartement à Yeouido Messages : 58 Date d'inscription : 31/01/2022 | ||||
Bienvenue à toi !! Tian m'a happé si vite oh là là, j'aime vrmt bcp comment tu as dessiné le contraste entre l'air glacial qu'elle peut avoir, et la chaleur et la bienveillance qui sont proéminents chez elle. Ca donne un personnage très humain et ouin, elle a fait de son mieux pour se reconstruire après la chute qu'elle a subi, on sent déjà la difficulté que ça a du être après un train de vie pareil ;v; la p'tite touche de la nervosité en public est très touchante avec l'ensemble aussi, je trouve ! puis evelynn aaaaa, quel bon choix ! hâte de lire la suite, bon courage pour ta fiche ! | ||||
Sam 11 Juin - 21:48 | ||||
Tian Age : 30 Occupation : professeure de danse Logement : appartement à gangnam Messages : 7 Date d'inscription : 11/06/2022 | ||||
SJDKFJKG. Merci uesh c'est trop gentil ! J'avoue que j'ai quand même vachement fait de coupes, je comprendrais qu'on veuille que je rajoute du détail hein, parce que c'est rare que je finisse une fiche en une seule journée (#samedioff) (evelynn is bae, i lov her) | ||||
Sam 11 Juin - 22:40 | ||||
Hanbyeol Occupation : 3e année (dpt mode, spé stylisme) Logement : dortoir Messages : 102 Date d'inscription : 21/12/2021 | ||||
bienvenue !! je crie un peu, tian est siiii cool ?? et en même temps elle est super touchante dans l'affrontement de sa peur et sa reconstruction après ce qui aurait pu la briser, la déception l'amertume TOUT jsuis comme ça là hâte de voir ce que l'avenir lui réserve hehe | ||||
Sam 11 Juin - 22:51 | ||||
Gwangsu Occupation : prof de scénarisation & leader de hyeol Logement : gangnam Messages : 63 Date d'inscription : 19/11/2021 | ||||
Bienvenue !!! J'aime énormément Tian (surtout son prénom fufu) PUIS EVE ravi de la voir sur un forum ça fait du bien. J'ai déjà tout lu et j'ai hâte de pouvoir m'épancher en compliments mais je tenais juste à dire que si ta fiche est terminée tu dois aller la signaler dans ce sujet sans quoi le staff ne passera pas la modérer. Hâte de pouvoir le faire et encore bienvenue à toi | ||||
Dim 12 Juin - 13:09 | ||||
Tian Age : 30 Occupation : professeure de danse Logement : appartement à gangnam Messages : 7 Date d'inscription : 11/06/2022 | ||||
Déjà merci, rly ça fait trop du bien au cœur, mais je mérite pas tant de compliment omg. @Gwangsu oui oui je sais j'avais bien lu le sujet, mais j'avoue que je me laissais une nuit pour la chasse aux petites fautes, parce que j'ai encore dû en semer partout, entre deux incohérences. Ceci dis, tu fait bien de me le rappeler, parce que comme je suis ascendant poisson rouge j'aurais été fichu d'oublier ! D: | ||||
Dim 12 Juin - 14:28 | ||||
Comité Vampirique Directeur de Seoul Art University Age : 102 Occupation : Watching Over Us Messages : 132 Date d'inscription : 15/09/2021 | ||||
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Mar 14 Juin - 14:51 | ||||
Comité Vampirique Directeur de Seoul Art University Age : 102 Occupation : Watching Over Us Messages : 132 Date d'inscription : 15/09/2021 | ||||
Le membre 'Comité Vampirique' a effectué l'action suivante : Lancer de dés 'Humains' : | ||||
Mar 14 Juin - 14:51 | ||||
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